Denser Malanvai

Nom :

Malanvai


Prénom :

Denser


Âge :

17


Nationalité :

Japonaise


Orientation sexuelle :

Hétéro


Description Physique :

De nationalité japonaise mais pas pour autant japonais de souche, Denser a une peau basané témoignant de nombreuses heures passé sous un soleil équatorial et les cheveux noir de jais, typique dans sa famille. Une silhouette fine et musclé taillé pour la vitesse avec des jambes longues avalant facilement les distances. Des yeux vert de jade dissimulé derrière des mèches capricieuses se soulevant au grès du vent. Sa bouche dessinant un fin trait ne souriant que rarement, cela décontenancé la plupart de ses interlocuteurs.
Tout en lui aspirait la noblesse, marchant droit comme un "I", les épaules relâchés, personne ne l'avait vu s'énerver quoique vu son histoire...


Histoire :

Partie 1 : Souvenirs

L'eau coulait dans sa gorge, sa fraîcheur fit du bien au radonneur, il était à mi-chemin de son objectif.
Ce jour là, Denser Malanvai avait prévu de finir son circuit en passant par le dernier col de la montagne, le soleil était encore haut dans le ciel : il avait encore du temps avant la tombée de la nuit. Il remit en place sa gourde et se leva, le contacte avec la nature l'apaisait, une sorte de lien s'était tissé depuis sa tendre enfance lorsqu'il avait fui le démon, son père... Ses larmes brillèrent comme douze ans auparavent, la douleur le transperça avec la même intensité, un genou à terre, il ramassa de la terre. Se relevant, il la laissa s'écouler entre ses doigts... Le temps avait passé et il se remémorait inlassablement la scène...

Une nuit parmis tant d'autres, Denser s'inquiétait. Son père n'était pas rentré et sa mère tournait en rond, faisant les cent pas et ne sentait pas la présence de son fils. Le garçon alors âgé de quatre ans n'était pas idiot, il savait. Ses parents s'étaient disputés de vive voix et une porte avait claqué, suivi des sanglots de sa mère, si douce, si gentille... Soudain, la porte s'ouvrit sur lui tenant une bouteille de saké d'une main et de l'autre, la lame aiguisé d'un poignard brilla aux yeux du petit garçon. Puis, tous s'était déroulé à une vitesse, le bras s'était levé et s'abattit sur la pauvre femme qui se vida de son sang, la gorge tranché... Denser, les yeux écarquillés, s'écroula au sol se tenant aux ventres. La mort s'avança et le noir fut...

Il marchait dans des brûmes, des voix l'appelaient, lui demandaient de les suivre. Mais il n'était pas prêt, une étincelle restait au fond de son âme. Il continua son chemin tracé en ligne droite dans l'oubli. Il ne sait pas le temps qu'il passa ainsi, à marcher sans but vers un destin incertain lorsque qu'enfin les brûmes se dispersèrent pour laisser place à une lumière aveuglante, de nouveaux des voix se firent entendre mais il les reconnut, un frisson remonta le long de sa colone vertébrale. Il se retourna. Et ils étaient là, l'un enfer, l'autre au paradis. Une cloison les séparaient pour l'éternité. D'un mouvement calqué, les deux tendirent une main l'encourangeant à le rejoindre. La vision le déchira. Deux pas en avant l'amenèrent à un mètre de leurs mains tendus. Les larmes ne vinrent pas, mais la tritesse se lisait sur son petit visage d'enfant. Il tendit ses mains, mais au moment de les toucher, le sol se déroba sous ses pieds et de nouveau, un voile noir s'abattit.

Mais seulement pour un instant, ses yeux s'ouvrirent sur des murs blancs. Un cri lui échappa lorsque la douleur le tirailla, une infirmière s'approcha :

"De nouveau parmis les vivants, mon graçon. Tu as eu de la chance, tu sais", avoua-t-elle.

Denser la regarda sans comprendre et répliqua :

"Où sont mes parents ? Ma mère, où est-t-elle ?!

-Oh ! Comme ça doit être dure... Tes parents sont morts, petits..."

Des oiseaux s'envolèrent suite au cris de Denser, le soleil se couchait, et les souvenirs l'avait hanté tous une après-midi. Prenant conscience, il s'élança à grand pas pour rattraper son retard, le coeur lourd...


Partie 2 : Espoirs

L'eau brûlante se déversait sur son corps fatigué. Denser était arrivé peu avant l'heure de son arrivé. Il sortit de la douche et se sècha. Il s'habilla rapidement se dévala les marches de l'escalier, en bas l'attendait sa mère adoptive, celle qui l'avait receulli.

"Il était temps, Denser, le chauffeur t'attends déjà ! annonça-t-elle.

-Oui, j'y vais, répondit-il en serrant la matrone dans ses bras, au revoir !"

La porte se ferma derrière-lui, scellant le passé pour se courber devant le futur...

La Pensionnat Takaï l'attendait.


Groupe : Etudiant


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